Etoffes
"BERLINGE n. m. Grosse étoffe
en fil et en laine (Larousse du XIXe siècle).
Il
avait ses vêtements des jours de travail, le tricot de laine bleue usé aux
coudes et le pantalon de berlinge, rapiécé de vieux lambeaux d’étoffes de
toutes nuances, maculé de taches de goudron, retenu aux hanches par une
espèce de turban tordu comme un câble (Anatole Le Braz, Pâques d’Islande, Nelson, p. 94)."
Dans
cet inventaire des biens d'un laboureur ayant vécu et cassé sa pipe au XVIIe siècle, on trouve "un juste au corps
et un haut de chausse de berlinge gris estimés quatre livres dix sols" (sur ce site); dans celui-ci (18e siècle), "un pourpoint d'étoffe et une paire de culottes de Berlinge estimés 25 sols".
Ce
n'est pas de la grande littérautre, ces inventaires, quoi que...
C'est une
lecture des plus addictives - j'avoue adorer les listes et autres énumérations encyclopédiques en
littérature... On imagine un tas de récits à voir juxtaposés ces deux
linceuls et cet escabeau...
Merci, Jacqueline, pour cette contribution (collaborative)!